Ils font l'Esdes

Dans un monde de plus en plus connecté et de plus en plus globalisé, faire de la recherche responsable, c’est tenter de penser une société plus intelligente, plus durable, plus équitable et plus respectueuse de chacun et chacune. Les managers de demain devront notamment faire face aux enjeux du numérique pour être capables de construire et d’évoluer
dans un monde numérique respectueux de l’individu, de l’environnement, inclusif et accessible. Avoir cette compétence humaine dans le professionnel est une des nombreuses
facettes d’un Responsible Native.

Depuis L’ESDES, Florian conserve… une ouverture à l’international et son implication dans la vie associative. Pour Florian, son expérience à l’ESDES fait remonter de nombreux souvenirs.

Patrick GILORMINI est titulaire du MBA Schulich School of Business de York University à Toronto (Ontario) et d’un master recherche en sciences de la décision et de l’organisation de l’IAE de Paris. Il a été pendant plus de vingt ans ingénieur en organisation pour le compte de trois cabinets de conseil internationaux dans les secteurs de la banque et de l’industrie alimentaire. Depuis quinze ans, ses travaux de recherche et ses enseignements en formation initiale et continue portent sur l’éthique des affaires, la responsabilité sociale des entreprises et l’entrepreneuriat social. Il est docteur en sciences économiques, sa thèse est en histoire de la pensée économique sur la conception saint-simonienne de l’entreprise.

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Depuis l’ESDES, Bertrand conserve… son plume-plume ! Jouet chinois ramené d’un voyage de fin d’études à Pékin. Il lui rappelle les années de partage et d’entraide, les colocs devenus depuis des amis. Il retient surtout l’usage de l’attention portée aux autres, cette bienveillance reçue et transmise.

Depuis l’ESDES, Thierry conserve… Le sens des valeurs, les fondamentaux des RH : conduite du changement et certains sujets RH comme l’évaluation des postes, le recrutement (même si les techniques ont beaucoup évolué depuis !) et la gestion anticipée des compétences.

Depuis l’ESDES, Emilie conserve… les fondamentaux de la finance, de l’anglais et l’aspect humaine de cette formation. Elle garde un très bon souvenir de sa campagne RYTHM’X pour le bureau des étudiants.

« Passer 5 merveilleuses années à l’ESDES m’a permis de développer des méthodes de travail, une façon de hiérarchiser et synthétiser les choses ainsi que la volonté d’aller toujours chercher plus haut. »

Nous essayons de prouver en quoi l’information et le fait de rendre les étudiants familiers avec le commerce international est vraiment important pour leur futur. Peut-être qu’ils seront amenés à travailler dans des entreprises internationales ou qu’ils seront intéressés pour être entrepreneur et simplement commercer avec d’autres pays. De fait, cette sensibilisation est la base et la première étape pour eux. Il y a là énormément de potentiel et d’opportunités en particulier dans la situation mondiale actuelle, avec l’inflation et tout ce qui se passe post-covid. Et beaucoup de marchés, par exemple, ce dont je parle, les marchés émergents ont des perspectives de croissance et l’occasion de faire du business, ce qui est d’ailleurs très important pour le futur de l’Europe s’ils veulent simplement éviter tout type de stagnation et de récession.

J’ai toujours été intéressée par le droit et les affaires juridiques. Le Bachelor droit et management est la seule formation à proposer un double cursus dès le post-Bac. Plus jeune j’avais envie de devenir avocate. Pourtant, à la sortie du lycée j’ai opté pour une école de commerce pour m’ouvrir un maximum de choix de carrières et de possibilités d’emploi, sans me spécialiser trop tôt. Aujourd’hui, l’Esdes et la Faculté de Droit répondent à mes ambitions tout en nourrissant un regard différent sur le monde. Je me construis ainsi avec une vraie différence et un panel de compétences plus large.